mardi 4 décembre 2007
LE DÉPÔT CHAUDIÈRE : PRISE 3
Soudainement, je n’étais plus le seul à vouloir perpétuer la mémoire duvvillage de Sanmaur. Pluseurs de mes correspondants et correspondantes m’ont trouvé, ou je les ai moi-même découverts, sur la page des visiteurs du site des mémoires de Max Comtois (http://books.dreambook.com/gelgen/addbook.sign.html)
Preuve éminemment concrète de l’efficacité des échanges virtuels, cette magnifique photo que vient de m’envoyer Paul Tremblay, petit-fils d’Alfred Dubé, qui fut le maître de poste de mon village mythique, du premier février 1926 au 7 juillet 1955. Ce n’est pas la seule. Parmi les documents iconographiques extraordinaires qu’il m’a refilés, des photos inédites de cette voie ferrée qui partait de Chaudière pour se rendre à La Loutre (le barrage Gouin), installée par la Fraser Brace, et rachetée, semble-t-il par la Brown Corporation.
LE DÉPÔT CHAUDIÈRE : PRISE 2
Un passage dangereux
« Le rapide de
Ces trois photos de
J'ai sauvé ces photos de la géhenne administrative, à l’été 1965, au moment où mon supérieur immédiat, Alexandre Martel, m'a chargé de faire de la place dans l'entrepôt servant au rangement de centaines de formulaires, dans le sous-sol du main office de l’usine de la C.I.P. de
J’y étais alors le stationary clerk et tout à fait inconscient de la portée du geste sacrilège que je commettais en accomplissant cette tâche.
J'ai ainsi contribué à faire disparaître des dizaines de caisses d’archives de